mercredi 19 juin 2013

Spam de Thierry Théolier sur Machine dans tête

"SEUL contre tous. Seul avec quelques mutants. Nous sommes le présent en dehors du marché."

Spam de Thierry Théolier en réaction à Machine dans tête et l'article de Hugues Marchal

Spam complet ici

Thierry Théolier et Mathias Richard

R3PLYc4N "Tu as mis toute une vie à ne pas t'adapter"

lundi 17 juin 2013

"Un trip et des tropes", Hugues Marchal sur Machine dans tête

"On se perd en chemin comme au sein des foules dansantes ; on stagne dans des bus, dans une maladie imprévue ou sur des bords de route improbables ; on ne trouve un ami que pour le quitter, une promesse d’aventure sexuelle que pour la fantasmer, un lit que pour s’endormir sur l’herbe."

"Il survient énormément de choses dans ce texte hypnotique et prenant, auquel la formule employée par Ricardou pour décrire le nouveau roman rendrait justice, si elle n’était devenue aussi banale : ici, « l’écriture de l’aventure » cède le pas à « l’aventure de l’écriture »."

"Les ondes que dessinent ses mouvements (car on ne cesse de monter et descendre, accélérer et ralentir, accidents de terrains ou étapes du trip) sont redoublées par celles d’une langue plastique, qui change, dérape et rippe à vue."

"S’il faut lire Machine dans tête, c’est pour savourer cette ondulation et apprécier les exercices d’un grand souffle d’air, une langue libérée, aventureuse et jouisseuse, qui cherche à se saisir de la singularité banale du monde contemporain, avec ses usages, activités, idées forces, préoccupations et productions culturelles, sans que l’ambition de trouver des formes littéraires adéquates à un tel projet ne se fasse barrière, ou marque de condescendance."

Hugues Marchal, "Un trip et des tropes", 17 juin 2013, Syndicatduhype.ning.com

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dimanche 2 juin 2013

ArtsLivres sur Machine dans tête

"Road-movie sur les routes de France et de Croatie, phrases qui s’enchaînent sans voir de point venir, états limites de conscience qui mènent à la clairvoyance. Machine dans tête, roman de Mathias Richard, n’est donc pas un livre : c’est une expérience."

"Dorian Durand cherche sa vie, non le sens de sa vie mais la vie elle-même."

"Un style en flux tendu, aussi bien à la Dantec qu’à la Kerouac."

"Plus que la narration de l’errance, Mathias Richard donne à lire le kaléidoscope des réflexions d’un être symbole de la condition humaine, dans ses recherches, ses interrogations, ses allers et retours."

Olivier Stroh, ArtsLivres, 1er juin 2013

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